Ce soir je vous emmène dans l’univers de Zguba. On ne connait pas le vrai nom de ce mec mais on sait qu’il bosse pour Opus Elefantum, qu’il est Polonais et qu’il est en exil dans la capitale Bulgare d’où il compose sa musique. Alors que fait il et pourquoi en parler ? Comme à chaque fois que je vous emmène quelque part c’est toujours parce que j’ai été personnellement touché et une fois encore nous y sommes. On part ici dans une ambient totalement aérienne, mystique. Des Chœurs et des nappes de cordes qui montent en boucle et tournoient. On est aux frontières de plusieurs monde, entre la réalité et la perte totale des repères dimensionnels et de temps. Des éléments ponctuels viennent donner des accroches au réel mais les morceaux vous projettent dans un espace, une réalité floue une sorte de rêve éveillé. Il n’y a que certains albums qui peuvent vous procurer ce type d’hallucinations. Profitez en c’est absolument Chem free. Notez que cet opus est le troisième d’un groupement et que si vous l’avez aimé alors vous allez devoir gouter le reste de sa discographie. Mon conseil d’écoute : n’ayez rien à faire en même temps, isolez vous, mettez un casque fermez les yeux et envolez vous, pleurez si vous avez besoin. Je vous embrasses, prenez soin de vous.
Belle critique, en tant que Loża Oficyna, nous sommes ravis d’un accueil aussi positif et de l’excitation provoquée par la musique de Zguba. Nous voudrions simplement suggérer que maintenant Zguba sort sur le label Loża Oficyna – et l’album « Znój » y est sorti – au fait, nous vous encourageons à écouter nos autres sorties 🙂 Salutations !